Ce pionnier de l’aéropostale disparu le 7 décembre 1936 dans l’Atlantique Sud est né le 9 décembre 1901 à Aubenton, près d’Hirson, dans l’Aisne.

En mars 1920, il s’engage pour 4 ans dans l’aviation militaire, il combat en Syrie lors de la révolte des Druzes.

A 26 ans, il reçoit la croix de chevalier de la Légion d’Honneur pour actes de bravoures.

A partir de 1924, il écrit, en prenant tous les risques, les plus belles pages de l’aventure de l’aéropostale.

Il assure les lignes Toulouse-Alicante-Casablanca-Dakar et devient une légende vivante lorsqu’il crée le « vol de nuit » pour l’Amérique du Sud en desservant Buenos Aires.

Il fut ensuite aussi le premier à survoler la Cordillères des Andes.

Il disparaît lors de sa 24^ème traversée de l’Atlantique.

On entend peu souvent parler de ce Picard certainement parce que celui-ci était déjà à l’époque politiquement incorrect, puisque nationaliste !

En effet, il fut adhérent des Croix de Feu du Colonel de la Rocque qu’il considérait comme son père avant d’être Vice-président du Parti social Français.

Si vous passez du côté d’Hirson, près de l’ex-frontière Belge dans le nord du département de l’Aisne vous pouvez visiter le musée Jean Mermoz installé à proximité de sa maison natale.

Le bâtiment était un des derniers secteurs qui fonctionnait dans le pays.

Aujourd’hui, c’est fini, puisque 15.000 à 20.000 emplois pourraient disparaître en 2009 si l’activité continue de baisser et si la trésorerie des entreprises ne s’améliore pas.

25% de celles-ci ne disposent que de 1 à 2 mois de commandes et de nombreux chantiers sont annulés, de plus ces entreprises n’obtiennent plus de prêt bancaire.

Les conséquences de la crise financière et la politique euro-mondialiste, touchent maintenant tous les secteurs d’activités et provoquent la récession, le marasme et l’insécurité sociale.

Le centre de premier accueil de cette petite île italienne de méditerranée est submergé par les immigrés illégaux qui affluent de plus en plus nombreux chaque jour.

La semaine dernière, plus de 1.400 immigrés ont débarqués en dépit du mauvais temps.

La capacité d’accueil de ce centre n’étant que de 850 personnes, les autorités vont le désengorger en organisant un premier vol de transfèrement, non pas vers le pays d’origine mais vers la Sicile ou vers le continent… Européen !

Combien d’entre eux arriveront en France ?

C’est sans doute cela que Sarkozy appelle l’immigration choisie !

Lors de ce Conseil Municipal j’ai indiqué que j’avais voté pour la mise en place des lignes de bus à l’intérieur de Noyon, comme je l’avais moi-même proposée dans mon programme municipal, mais que j’étais opposé à la création d’une ligne destinée à remplir les caisses de l’hypermarché du Mont Renaud, qui tuerait définitivement le petit commerce du centre ville.

Par ailleurs, j’ai demandé que l’on redonne à la place de la Mairie son appellation d’origine : place de l’Hôtel de ville. Le bâtiment appelé Chevalet pouvant prendre l’appellation donnée récemment par l’UMP à cette place.

J’ai proposé que l’on baptise prochainement une rue, une place ou un carrefour du nom d’Alexandre Soljenitsyne, héros de la liberté et de la résistance anti-stalinienne et communiste décédé récemment.

Dans le cadre de la révision de la liste électorale de la commune, j’ai remis au maire une première liste d’électeurs qui n’existent pas, ou plus, à Noyon.

Cette « bizarrerie » qui date de la précédente municipalité permet d’augmenter le nombre des inscrits sur la liste électorale et fait baisser le pourcentage des votes exprimés par rapport aux inscrits. Ceci fausse évidemment le résultat des élections et permet d’éliminer les candidats qui dans ces conditions n’atteignent pas, par exemple, les 10% d’inscrits pour se maintenir au 2^ème tour. Cherchez à qui peut profiter le crime !

La transformation de la communauté de commune en communauté d’agglomération appelle à la prudence et fera part de toute mon attention, afin que cette opération ne desserve pas, à terme, les intérêts et des Noyonnais.

En ce mois de décembre et malgré les difficultés que les français rencontrent aujourd’hui, je souhaite aux Noyonnais un bon Noël et une bonne fin d’année.

Pas de chance pour cette opération, car Noyon fut plongée dans le noir durant un bon quart d’heure un peu avant 19h00, l’heure prévue pour cette opération (médiatique).

On saura peut être un jour, s’il s’agissait d’un sabotage anti-Deguise ou d’une surcharge sur le réseau électrique de la ville… due aux illuminations supplémentaires.

Les fêtes de fin d’année risquent déjà d’être bien tristes pour beaucoup de Noyonnais, espérons qu’ils ne doivent pas les passer à la bougie !