C’est le résultat de la politique menée par le gouvernement, qui, en cette matière, ne connaît que le répressif.
Dans la majorité des cas, les excès de vitesse relevés et sanctionnés s’étalent entre 10 et 20 km/h en trop et parfois l’automobiliste étourdi est pénalisé pour 1 à 2 km/h retenus, sans pour autant être un criminel de la route.
Cette répression sans discernement est totalement intolérable, car la perte du permis pour de si petites infractions cumulées se transforme en véritable drame social et familial pour ceux qui utilisent leur voiture dans le cadre de leur travail.
Les radars automatiques et les consignes données aux forces de l’ordre, en cette matière, apparaissent totalement comme une bonne affaire financière pour l’Etat et les sociétés privées gérants les radars :
L’automobiliste, comme d’habitude, fait office de tiroir-caisse !